Yamina (Sur une chanson de Khaled)



Béni soit ce jour heureux où je vous ai croisé
Yamina ô reine par qui ma vie s’est embrasée


Donnez donnez-moi de vos nouvelles de grâce
La maladie dont vous souffririez me terrasse


Je n’ai pour accomplir le culte que je vous voue
De fenêtre ou de croisée qui donne sur vous


Votre mal dont je m’enquérais auprès des gens
M’a peu à peu envahi  le cœur et allait le rongeant


Yamina, Yamina
Votre beauté n'a
d'égal, ô Yamina.












Yamina:

J'ai brûlé deux mois durant  d’une étrange fièvre
Plaintes et gémissements n’ont pas quitté mes lèvres

Je fondais à ce mal comme neige au soleil
Défendu m’était même le stupide sommeil


Mais j’en suis guérie à présent Dieu merci
Et après l’orage de nouveau c’est l’éclaircie   


Ciel en soit loué Yamina. Et qu’est-il de nous ?
Je veux vous marier en me mettant à genoux.  


Yamina, Yamina
Votre beauté n'a
d'égal, ô Yamina.











Yamina :  

Relevez-vous de grâce et tempérez vos ardeurs
N’espérez pas être encor l’élu de mon cœur

Le mal obscur qui m’a détruit pour dire vrai
Est votre amour et mon corps s’en est délivré


C’était le jour heureux où je vous ai croisé
O très chère par qui ma vie s’est embrasée


Yamina Yamina qui m’a le cœur ôté
Et qui indifférente et fière l’a éclaté


Yamina, Yamina
Votre beauté n'a
d'égal, ô Yamina.